JurisiteTunisie

Tunisien vivant aux états unis en detress please!!

Samer

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Samer

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apparemment vous etes nuls!!
vous n'avez rien compris à mon histoire
merci less tunisiens...sympa comme d'hab, vous ne m'étonnez pas
bravo et très bonne continuation!!!!!!!!!!!! :P


hamadigh

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Bonsoir,‎

Vous ne pouvez pas vraiment susciter de réponses – et des réponses promptes - ‎si vous ne posez pas de vraies questions.‎

A part la longueur présumée de la procédure judiciaire de partage (que je présume ‎aussi, vu que vous ne clarifiez pas la chose), je ne vois d’ailleurs pas de vraie ‎problématique juridique dans votre exposé.‎

Je me contenterais donc de rappeler quelques généralités en rapport :‎

‎1°) - la procédure de partage requiert effectivement une ou plusieurs expertises en ‎‎1ère instance, voire en appel. ‎

Il n’est pas rare en effet que l’un ou l’autre des justiciables – insatisfait des premières ‎évaluations ou attributions de lots – demande une contre-expertise.

C’est notamment le cas quand il s’agit ‎de plusieurs propriétés à partager et/ou de propriétés agricoles vastes et plantées ‎‎(ce qui semble être votre cas).

D’où un risque évident d’allongement de la procédure.‎

Sans compter qu’en cas de variété de propriétés, la procédure de partage peut aussi ‎bien être introduite spécifiquement pour chaque bien, ce qui donnerait lieu à ‎plusieurs instances.

Est-ce votre cas ?‎

‎2°) – Permettez-moi de dire – très amicalement – qu’il était présomptueux de votre ‎part de contracter une promesse de vente (et avec un délai de réalisation aussi ‎court) sur un bien qui ne vous était pas attribué définitivement à ce moment là parce ‎que précisément en voie de partage.

D’autant plus que vous aviez pris apparemment ‎le risque juridique de mettre le bénéficiaire en possession de ce bien par anticipation.‎

Peut-être aviez-vous promis de vendre des parts indivises seulement et non un lot ‎défini (c’est-à-dire sans délimitation) ?‎

‎3°) – le rôle de l’avocat est d’engager la procédure et de l’accompagner avec le ‎maximum de diligence pour défendre vos intérêts.‎

Il ne peut pas être normalement tenu responsable des délais, surtout en matière de ‎partage d’immeubles où le débat est plutôt technique et basé essentiellement sur ‎l’engagement des expertises / contre-expertises et le commentaire de leurs résultats.‎

Il arrive aussi que l’allongement de la procédure soit bénéfique en définitive pour ‎aboutir à un partage plus équitable. ‎

‎ ‎


« Modifié: 21 août 2005, 01:23:42 pm 13:23 par hamadigh »
Cordialement