La position de L'administration n'est pas nouvelle dans ce sens;
Le livre de MR Mabrouk Maalaoui comprend une demi-page consacrée à cette question.
Le principe consiste à dire que contrairement au point de vue comptable, l'amortissement d'un logiciel, pour étre déductible en tant que charge représentant la consommation d'un actif sur sa durée d'utilisation, doit correspondre à la définition d'un actif sur le plan fiscal, C A dire être l'actif objet de l'amortissement doit être la propriété de la société, ce qui n'est pas le cas pour le droit d'usage.
Maintenant, la position actuelle n'est pas logique : Pour que la charge soit déductible, il faudrait constater la dépense en charge de l'exercice, ce qui ne reflète pas la consommation des avantages économiques sur la durée d'utilisation du bien en question.
A mon avis, le pb reste toujours la non évolution de la fiscalité au même rythme que les normes comptables.