Dans un pays, la Tunisie, où malgré les injonctions du Président de la République pour l’épurage des ministères, offices, institutions publiques et la banque centrale de ceux qui les ont irrégulièrement intégrés des milliers de personnes exercent aujourd’hui en toute il-légalité, voici un exemple qui prouvent qu’en matière de concours et d’examens universitaires le non-respect de l’égalité entre candidats est source de remise en cause des résultats.
Voici un étudiant qui pour quelques centièmes de points a été refusé d’accéder au niveau supérieur voir de poursuivre carrément ses études de droit alors que le jury et son université, de droit, n’avait pas respecté des dispositions élémentaires.
Le juge des référés du tribunal administratif de Paris a contraint l’université Paris-Panthéon-Assas à réexaminer la demande de validation de la deuxième année de licence d’un étudiant en droit qui se plaignait de ne pas avoir pas bénéficié d’une « double correction » de sa copie. Le requérant avait en fait été ajourné à l’issue de l’année universitaire 2023-2024 : il avait en effet obtenu une moyenne générale de 9,789 sur 20 et se retrouvait ainsi dans « l’impossibilité de poursuivre son cursus au sein de l’école ».
Un article intéressant de
actu-paris.