L'IORT fait des économies de papier

[Yacin]

L'IORT ne finira pas de nous étonner.
Sa dernière trouvaille est de ne plus mettre en ligne que la première page de ses publications et notamment de celles des recueils et des codes.
Déjà que :

• depuis bien longtemps elle a cessé d’actualiser pour chaque texte publiés les textes qu’il modifie et qui le modifie induisant ainsi en erreur tous ceux qui consultent son site malgré la mission qui lui a été confiée, financée en quasi-totalité par les impôts des Tunisiens,
• que plusieurs numéros ne font plus l’objet d’une publication de leurs traductions — leur liste est tenue à jour sur ce site d’ailleurs
• jamais le site de l’IORT n’a permis que l’on puisse accéder directement au contenu mis en ligne et qu’il faut toujours actualiser la consultation sous peine de recevoir une page blanche, une sorte de 404 édulcorée.

On est bien en droit aujourd’hui de s’interroger sur la pérennité de cette institution centenaire et que comme pour d’autres institutions et organismes et si on ne laisse pas la situation dépérir pour mieux l’offrir à des intérêts privés à bas prix comme semblent s’y être spécialisé certains milieux et spécialistes.