Bonjour,
En attendant ces interventions,j'ai commencé à effectuer une recherche sue ce sujet,j'arrive enfin à une interprétation et j'espére savoir vos avis:
Laissons à côté le probléme de la donation que j'ai déjà évoqué
Si on examine la loi régissant la succession ,on remarque que lors de l'ouverture d'une succession la masse successorale peut porter sur des biens tenu en nue-propriété ,celà m'améne à constater qu'au cours de sa vie le défunt à conclut un contrat permet au cocontractant de bénéficier de l'usufruit des biens .
On constate donc ,qu'en pratique on peut conclure des contrats portant transmission de la nue-propriété et d'usufruit à titre onéreux comme elle peut être à titre gratuit,et sur ce dernier contrat seront appliqué les dispositions de l'article 38 du code de droit d'enregistrement et de timbre .
Beaucoup de questions peuvent être posé:
-Pourquoi la législation tunisienne n'a ni qualifié ces contrats ni leurs consacré des disposions spécifiques appart les tarifs?
-Pourquoi ces contrats sont innomés.........?
-Aussi la conclusion d'un tel contrat va mettre en jeu la définition de contrat de donation prévu par le CSP
*J'arrive enfin à une seule réponse et unique interprétation à tous les questions posés ou celles qui seront posés Voici:
En examinant la législation française ,on remarque que les dispositions de l'article 38 du code de droit d'enregistrement et de timbre sont les même prévu par l'article 627 du code général d'impôt de la législation française
Cependant le législateur français a prévu dans le code civil ,des contrats de donations simple (qui sont les mêmes que nos contrats de donations ) comme il a prévu un autre type de contrat "DONATION PARTAGE " ,un tel contrat permet la transmission à titre gratuit de l'usufruit ou la nue propriété des biens.....
Vous êtes grand et majeur vous pouvez compléter cette interprétation..............
cette interprétation n'est pas seulement à répondre aux questions cités ci dessus mais elle peut expliquer en quelques sorte pourquoi l'inssuffisance de nos lois ,pourquoi le silence de nos loi dans d'autres cas, pourquoi des multiples questions demeurent en suspend.
C'est dommage