Ces deux articles mériteraient une thèse chacun, mais pour essayer de conclure avec ça, le risque de redressement est toujours là, et le CDPF donne plusieurs cartes pour le fisc de trouver des motifs valables (il a une liberté absolue pour les présomption, la seule limite c'est l'imagination des contrôleurs), et dans le "jeu économique", le risque et l'entrepreneuriat sont les deux faces d'une même monnaie.
Pour revenir au sujet du présent post, je trouve parfaitement fondé que pour un professionnel libéral, dans la majorité des cas, la voiture de tourisme se rattache directement à son exploitation, et ceci est facilement prouvé, il suffit d'une seule prise de position jurisprudentielle pour rétablir l'ordre des choses.