Une voiture mise en fourrière à proximité du port de la Goulette : pour récupérer ce véhicule, le propriétaire alors qu'il rentrait en France n'avait plus d'argent liquide tunisien, s'est vu opposé, par le service de la fourrière, un refus d'acceptation du chèque bancaire (sur banque tunisienne) qu'il s'apprêtait à rédiger. Son montant : approximativement 36 dinars... est-ce légal ?