La corruption n’est pas celle que chaque Tunisien côtoie au quotidien, une petite corruption qui si elle gêne, lasse et agace la vie de tous les jours n’est en rien comparée à la corruption de haute voltige qui chemine dans les couloirs de certaines entreprises nationales renommées comme l’ETAP et les ministères de tutelle, le butin est important et les gains le sont non moins. C’est l’État qui paye ici, c’est l’État qui peine à collecter ses parts, ce sont quelques-uns qui se rassasient et prient qu’on les oublie.
Un article de
Franck Koffi dans
Afrik.com aborde quelques menus dossiers parmi ceux qui ont remonté.
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