Je voudrais savoir ou je peux trouver (un lien) des staistiques conceranant les sociétés en difficulté ainsique le nombre annuel de cession des entreprises, par secteur, par zone geéographique.
A ma conaissance, Non (il n'existe pas)
Voir ce lien (Observatoire de la conjoncture économique - en cours de construction )
http://www.ins.nat.tn/indexfr.php
Tu peux toujours voir :
Ministère de l’industrie, de l’énergie et des PME.
40, Av du Japon, immeuble panorama, 1002 Tunis.
Tél.: 71.954.233
Régime de redressement des entreprises en difficultés économiques : Un bilan positif dans l’ensemble
732 sociétés redressées soit 37 mille emplois sauvés en 2004 Dix ans après le lancement du régime de redressement des entreprises en difficultés économiques, il était temps de faire le bilan. C’est chose faite hier lors de la septième conférence nationale sur la loi de redressement. Un bilan positif selon les participants. En effet et rien que pour l’année 2004, 732 sociétés, sur 1680, en difficultés économiques ont été sauvées ce qui représenté 37.232 emplois sauvegardés. Tunis-le Quotidien Tenue sous l’égide du ministère de la Justice et des droits de l’homme, du ministère de l’Industrie et de l’UTICA, la conférence a été l’occasion, comme le fait souligné M. Bachir Takari, ministre de la Justice, lors de la séance d’ouverture «de débattre de la loi de redressement des sociétés en difficultés économiques et notamment des nouvelles amendements introduits en 1997 et en 2003″. Des amendements, ajoute-t-il, qui rentrent dans le cadre des recommandations présidentielles visant à couper la route à ceux qui veulent profiter de ce régime pour se dérober de leurs obligations. Des manoeuvres qui pourraient avoir des répercutions négatives sur l’économie nationale. Concrètement et selon l’amendement introduit en 2003, ne pourra plus bénéficier de ce régime toute entreprise qui , bien que solvable,s’abstient de payer ses dettes, ainsi que toute entreprise qui a cessé son activité depuis moins d’un an. Par ailleurs, et pour bénéficier de ce régime, il faudra d’abord que des experts spécialisés procèdent au diagnostique de la situation économique, financière et sociale de la société en question et ce sont eux qui peuvent donner le feu vert. Ainsi, et selon M. Takari, seules les sociétés qui ont vraiment besoin d’aide et qui peuvent réellement se redresser seront prises en compte “ce qui aura permis, depuis, à réduire le nombre des demandeurs et à augmenter le nombre des sociétés sauvées”, affirme-t-il. * Un bilan positif En effet, et selon le ministre de la Justice l’amendement de la loi à permis depuis fin 2003 et tout au long de 2004 à sauver 732 entreprises sur un total de 1680 menacés de déposer le bilan, soit un taux de 44%. Cela aura permis, par ailleurs, de sauver 37.232 emplois et le remboursement de 1,690 millions de dinars de dettes bancaires sur un total de 3,572 millions de dinars de dettes déclarées. Un “bilan positif” selon le Ministre et qui devra se renforcer encore plus à travers le renforcement d’un mécanisme de détection précoce des prémices de difficultés économiques. Ceci est d’autant primordiale, fait valoir M.Ahmed Sallami, du bureau exécutif de l’UTICA, que les sociétés “travaillent aujourd’hui dans un contexte difficile suite à la hausse démesurée des prix de l’énergie, de la rentrée en vigueur des nouveaux traités de démantèlement douanier, notamment avec l’Europe ainsi que l’arrêt de l’accord multifibre relatif au secteur du textile et de l’habillement”. Il a noté, à ce propos que, presque la moitié des entreprises en difficulté aujourd’hui font partie de secteur de textile qui subit par ailleurs et selon M. Sallami “le contrecoup du commerce parallèle qui nuit considérablement à l’économie”. Mohamed Ali BEN REJEB
Source: LeQuotidien: lequotidien-tn.com
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